lunes, 28 de noviembre de 2011

DaniePA parapapapá

-Hey! Querida, no te das una idea de todo lo que te quiero y me hacés falta, ahora.
No te das una puta idea de lo que siento por vos, porque un "te quiero" es demasiado nada, y un "te amo", demasiado corto. Te amo y más, que no se como expresar ese "más", ese más, es hasta la locura, de esa mala, que no vamos a tener, hasta las estrellas más lejanas de la  galaxia, hasta el infinito y más allá. Mucho más allá.
Bueno, querida, ¿Cómo decirlo? Tu m' apprivoises. Porque no puede ser que haya cosas que me hagan acordar a vos, y que me hagan extrañarte más de lo normal.
La prueba es esta:
-Bonjour, dit le renard.
-Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien.
-Je suis lá, dit la voix, sous le pommier...
-Qui est-tu? Dit le peti prince. Tu es bien Joli...
-Je suis un renard, dit le renard.
-Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince.
-Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas aprivoissé.
-Ah! Pardon, fit le petit prince
Mais, après réflexion, il ajouta:
-Qu'est-ce que singifie <<apprivoiser>>?
-Tu n'est pas d'ici, dit le renard, que cherches-tu?
-Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu' est-ce que signifie <<apprivoiser>>?
-Les hommes, dit ler renard, ils ont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant! Ils élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherche des poules?
-Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu' est-ce que signifie <<Apprivoiser>>?
-C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ca signifie <<Créer des liens...>>
-Créer des liens?
-Bien sûr dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu' une garcon tout cemblable a cent mille petits garcons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m' apprivoises, nous auronsbesoin l'une de l'autre. Tu searas pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...
-Je comence a comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu' elle m'a apprivoise...
-C'est possible, dit le renard. On voit sur la terre toutes sortes de choses...
-Oh! ce n'est pas sur la Terre, dit le petit prince.
Le renard parut très intrigué:
--Sur une autre planète?
-Oui.
-Il y a des chasseurs, sur cette planète-là?
-Non.
-Ca, c'est intéressant! Et des poules?
-Non.
-Rien n'est parfait, soupira le renard.
Mais le renard revin à son idée:
-Ma vie est monotone. Je chasse des poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m' ennuie donc un peu. Mais, si tu m' apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui será different de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musuque. Et puis regarde! Tu vois, la-bàs, les champs de blé? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien.Et ca, c'est triste! Mais tu as des cheveus couleur d'or. Alors, ce sera merveilleux cuand tu m'auras apprivoisé! Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé.
Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince:
-S'il te plait... apprivoise-moi! dit-il.
-Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaitre.
-On ne connait que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes, n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi!
-Que faut-il faire? dit le petit prince.
-Il faut être très patient, répondit le renard.Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ca, dand l' herbe.  je t'regarderai du coin de l'oeil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...
Le lendemain revint le petit prince.
-Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par example à quatre heures de l'apreès-midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai hereux. À quatre heurex, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrai le prix  du bonheur! Mais si tu vien n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le coeur... Il faut des rites.
-Qu' est-ce qu'un rite? Dit le petit prince.
-C'est aussi quelque chose de trop oublié, dit le renard.C'est qui fait qu'un jour c'est different des autres jours, un heure, des autres heures. Il y a un rite par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les filles du village. Alors le jeudi est jour merveilleux! Je vais me prommener juscu'à la vigne. Si les chasseurs dansaient n'importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je n'aurais point de vacances.
Ainsi le petit prince apprivoisa le renard, et cuand l'heure du départ fut proche:
-Ah! dit le renard...je pleurerai.
-Ca est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise...
-Bien sûr, dit le renard.
-Mais tu vas pelurer! Dit le petit prince
-Bien sûr, dit le renard.
-Alors, tu n'y gagnes rien!
-J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé.
Puis il ajoutá:
-Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.
Le petit prince s'en fut revoir les roses.
-Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous apprivoisées et vous n'avezapprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était un renard cemblable a cent mille autres, mais je n'ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde.
Et les roses étaient gênées.
-Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourur pour vous. Birn sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu' elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle qui j'ai mise sous globe. Pauisque c'est elle qui j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tuenles chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle qui j'ai écoutée se palindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c'est ma rose.
Et il revint vers le renard:
-Adieu, dit-il...
-Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple:  On ne voit bien qu'avec coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
-L'essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, a fin de se sauvenir.
-Cést le temps que tu as perdu pour ta rose que fait ta rose si importante.
-C'este le temps que j'ai perdu pour ma rose... fit le petit prince, afin de se souvenir.
-Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoise. Tu es responsable de ta rose...
-Je suis responsable de ma rose... répéta le petit prince, afin de sa souvenir.
Bueno, en tal caso, vos sos le petit prince, y yo le renard, sobre todo, porque croe que me quedó el apodo, porque a veces, no paran de decírmelo.
Y sé que no habrás leído todo, porque, nada, tenes el libro, y probablemente, en francés no entiendas mucho (porque me costó), pero quiero que sepas, que, aunque pude haber sacado esto de internet, porque debe estar en todos lados, lo copié yo, y por eso me falta esa "C" que parece que tiene una "s" abajo, y por eso hay faltas de ortografía (seguramente), y bueno, me llevó todo el día (maso menos), y al fin, encontré todos los acentos...
Bueno, volviendo a lo nuestro, gracias por approivisarme ¿?
Gracias por ser como sos (aunque seas K), gracias por bancarme siempre, con mis depresiones repentinas, mis histerias, y mis periodos¿? que sí, me pongo peor que la loca de mierda en esos tiempos, y para peor, en este momento, justo, me habías conundido, y no se, todo un quilombo.
pero de todos modos, siempre estuviste, para llorar conmigo, para tirarnos al piso, para rodar, mojarnos en la lluvia, o lo que sea que yo quisiera hacer.
Gracias por darme amor, porque es algo que me hace /hizo mucha falta, pero cuando viene de vos, no necesito de nadie más.
Cuando estoy con vos, no necesito nada.
Y me chupa un huevo que no te guste lo sentimental, porque si vos conmigo, te pones cursi y te vas al chori, yo hago lo mismo (y todo el tiempo, lo sabes).
Te amo, más que a nada en este mundo, en este universo.
Te amo más que al amor.
Y aunque uses barbijo para ahuyentar al amor del aire, del mío no te vas a poder escapar.
No te escapaste, de hecho... O me mentiste... Pero bueno, me fui al chori.
El mundo esta lleno de verdades, también, y la más cierta es que te amo.
(Y no nos olvidemos de la que te puse en le petit prince, claro).
Bueno, Daniepa, Media toronja, miamor, querida, zorra, Que te amo esta más que claro, que no se cómo expresar la magnitud, creo que también, y que nos vamos a casar... bueno, eso lo hablamos en la fiesta... ahre.
Bueno, querida, te adoro, y nos vemos mañana en el cole.
Besuleeeeeee

No hay comentarios:

Publicar un comentario